La Peur ou La Foi ? (1)
Les temps actuels sont particuliers… Le monde est submergé par la panique et la peur, la peur, la peur… Ce sont les vibrations les plus basses possibles.
Ils écrasent notre immunité – ces mécanismes
protecteurs que la Conscience Divine nous a fournis dès la naissance pour faire
face aux maladies. La peur nous rend
malades.
Ils cèdent la place à la négativité, à la colère et au doute. La peur est une obscurité totale dans nos
âmes.
Ils nous découragent, nous font perdre la foi et nous éloignent des vibrations élevées et aimantes de la Conscience Divine. La peur nous éloigne de la Conscience Divine. Le Christ lui-même, succombant à ses peurs et à ses doutes, est tombé dans des situations difficiles dans lesquelles il n’a pas réussi à contrôler ses réactions négatives :
« Du fait que je cédais maintenant au doute et à la peur, le niveau normal des fréquences de ma conscience baissait rapidement. Cela me faisait redescendre dans les fréquences de conscience du plan terrestre. Je redevins la proie de mon agressivité d’autrefois, qui m’incitait à commettre des actions déraisonnables que je n’aurais jamais pu envisager plus tôt, quand j’étais dans mon état d’harmonie totale avec la « Conscience d’Amour Père ». » (Lettre 3)
En effet, la peur est l’outil le plus puissant de manipulation de masse, depuis que l’humanité existe. Dans l’Article 7, « Ma VÉRITABLE Mission », le Christ dit :
« Ils (les prophètes) ont utilisé un langage imaginatif pour décrire ce DIEU. Ils ont créé des images mentales de grandeur et de splendeur. Ils ont aussi produit l’effet désiré de contrôler les gens par la crainte de représailles du Ciel sous la forme de pertes personnelles, de maladies, de privations, de fléaux et de désastres climatiques. »
Et cet effet de contrôle se produit toujours aujourd’hui.
L’horreur à ce stade est différente, mais les « punitions » sont les mêmes, même présentes partout dans le monde « civilisé » : « pertes, maladies, privations ». Dans la Lettre 2, le Christ dit quelque chose d’absolument catégorique :
« En cédant à des pensées effrayantes, à l’anxiété et à des sentiments de désespoir, vous créez les conditions mêmes que vous désirez changer. »
Remarquez, cela ne parle pas seulement de la peur comme principale émotion
négative, mais aussi du sentiment de désespoir, même des simples inquiétudes ou
appréhensions qui semblent être
devenues automatiques pour notre esprit et nos émotions.
Et encore de la Lettre 2 : « Mais
comme vous vivez quotidiennement dans la crainte du « bien et du mal » et que
vous croyez et escomptez que cela va vous arriver – plus que vous
ne croyez que le « Père »est
VIE et AMOUR en abondance en vous, vous accordant tout ce dont
vous avez besoin pour votre santé et votre bien-être -,ce sont les expériences
« du bien et du mal » que vous craignez le plus que vous attirez dans votre vie
et votre corps. Vos croyances en « le bien et le mal » obscurcissent –
RECOUVRENT – tout ce que le « Père »vous réserve si seulement vous pouvez croire en « l’AMOUR du Père »! »
C’est à dire nous craignons, attendons et croyons plus en nos propres croyances et jugements du bien et du mal que nous ne faisons confiance à la Conscience Divine. Je sais que nous faisons de gros efforts pour y faire face, mais certains types de peur (inquiétudes, angoisses, etc.) sont automatiques, semblent tout à fait normaux et adéquats, et sont donc très difficiles à détecter. Et c’est parce que la peur est un complexe de sentiments négatifs, d’émotions et de réactions que nous formons dès la naissance et affirmons pendant des décennies en fonction de notre expérience de vie, parfois – et de l’expérience des gens autour de nous. Il y a aussi des peurs qui sont encore plus inadéquates, mais d’un autre côté, elles sont parfois beaucoup plus fortes et plus intenses, celles qui ne sont pas causées par des expériences antérieures, mais sont le fruit de notre imagination.
Le Christ décrit cela dans l’Article 4, « Chassez les fantômes » :
« Quand vous SUIVEZ LA VOIE CHRISTIQUE, examinez toujours quel est votre état d’esprit avant d’aller vous coucher, pour découvrir quelles sont les craintes que vous hébergez. Une fois que vous avez découvert quelles sont ces craintes, si vous en avez, il faut vous rappeler que, de même que votre imagination d’enfant vous faisait imaginer des fantômes sous votre lit, de même, en tant qu’adulte, vous imaginez des catastrophes qui ne DOIVENT pas nécessairement se produire.
Notez s’il vous plaît que je dis : „ne doivent pas nécessairement se produire“ – et non « ne peuvent jamais se produire ».
Je le dis parce que, quels que puissent être vos problèmes, vous ne les gardez à l’esprit que comme « des problèmes » tant que vous ne leur avez pas donné assez de pouvoir mental pour se manifester comme « des réalités apparentes » dans votre vie.
Les problèmes peuvent être des POSSIBILITÉS sérieuses selon la voie que prennent vos affaires à ce moment. Par exemple, vous pouvez aller en direction d’un renvoi de votre travail, vous pouvez être si à court d’argent que vous ne savez pas comment vous allez vous débrouiller la semaine qui vient, votre enfant peut rester en arrière à l’école ou faire face à l’expulsion – quel que soit le problème, il ne devient un vrai problème que lorsqu’il se manifeste comme une réalité dans votre vie. En attendant, il reste un « PEUT-ÊTRE » pour l’avenir, mais déjà il vous fait vous recroqueviller et avoir le cœur lourd.
Mais même si les craintes devaient se manifester comme des faits apparents dans le futur – même lorsque vous frôlez le désastre, les choses peuvent CHANGER ! »