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La vraie nature de l’espace

La Voie du Christ

La Porte-parole commente :

Le Christ va décrire la VRAIE NATURE DE L’ESPACE parce c’est dans l’ESPACE que la Source de notre Etre est cachée, non détectable par la science. C’est le secret de nos origines.

Le Christ dit que tant les anciens Prophètes de la Bible que la Science essaient de nous dire comment la vie a commencé – mais que ni les Prophètes, ni la Science n’ont la moindre idée de ce qui a donné son impulsion à la vie de la création.

Le Christ analyse le dogme scientifique qui tente de décrire le moment où la vie a commencé sur terre et nous montre à quel point ses conclusions sont superficielles. Il exprime son amusement face au manque de profondeur de telles déclarations.

L’analyse du Christ est extrêmement importante parce qu’Il nous permet d’écarter le voile des rationalisations humaines pour pouvoir explorer plus à fond les faits de l’existence et percevoir finalement la vraie Source de notre Etre.

Il est instamment recommandé que le lecteur passe du temps sur la description du Christ des déclarations de la Science parce qu’Il passe de leur illogisme à la logique sublime de la Vérité. C’est un passage très important des Lettres du Christ et il faudrait le lire et y réfléchir jusqu’à ce que toutes les nuances de ce que dit le Christ soient comprises à fond.

Extrait de la Lettre 5 :

C’est à la véritable nature de l’ESPACE que j’ai l’intention de vous initier, mais avant de commencer, je dois d’abord porter à votre attention de nombreuses questions hautement pertinentes.

Tout au long des âges, une grande partie du travail pro-duit par l’électromagnétisme est apparue à l’esprit, à la vi-sion et au toucher des entités vivantes comme quelque chose de solide, d’immuablement durable. On considérait que le métal, le bois, la roche, les entités vivantes étaient tous composés de « matière » solide, inanimée ou vivante. Avec une telle croyance en un univers solide, il n’est que naturel que les prophètes mystiques anciens aient imaginé un « Puissant Individu » possédant l’énorme pouvoir de créer toutes les substances solides de l’univers. En imagi-nant un tel « Individu Puissant », il n’était que naturel qu’ils perçoivent une figure « royale » contrôlant l’univers et pos-sédant une nature vengeresse lorsqu’elle était confrontée au comportement humain qui créait une société turbulente.

Ni les Prophètes de jadis, ni la science d’aujourd’hui ne sont proches de la Vérité de l’Existence.

Tous deux ont passé complètement à côté de la vérité.

La science dit que la vie a commencé lorsque, d’une manière inexpliquée, une combinaison correcte de réactions chimiques a produit une molécule capable de se re-produire en déclenchant de nouvelles réactions chimiques.

Une telle description de l’immense puissance et de la complexité féconde de la FORCE DE VIE censée être discernable parce qu’elle est « capable de se répliquer » révèle l’appauvrissement fondamental de la perception et de la pensée scientifiques qui ont produit une telle théorie !

En outre, la suggestion qu’une telle combinaison de substances chimiques « inanimées » puisse se réunir d’une manière spécifique – accidentellement – pour produire un résultat aussi surprenant de « reproduction » reste inexpliquée scientifiquement.

Tout cela parce que l’esprit humain fini, bien que scientifique, ne peut pas traiter une éventualité aussi étrange que la « reproduction » spontanée. Cela suggère trop un phénomène magique – quelque intervention d’une source inimaginable – que les scientifiques n’osent pas envisager, par peur du ridicule.

Ce consensus moutonnier est considéré comme plus scientifique que la production de théories « inspirées » bloquées par les lois matérialistes que la science s’est impo-sées. Cet obstacle au progrès scientifique futur empêchera la science d’investiguer correctement le royaume du mental et de l’esprit jusqu’à ce qu’un scientifique illuminé défie les conventions et ose dépasser la limite entre le « vu » et le « non vu ».

Si l’on présentait la théorie de la reproduction spontanée des molécules aux Prophètes anciens, ils ne verraient aucune difficulté à un tel « événement magique » et diraient que « Dieu » a créé ces combinaisons chimiques et leur a insufflé la vie. Mais ce ne serait pas là non plus la bonne explication.

C’est ce vieux concept religieux d’un « Dieu d’En Haut », « créant de loin », qui empêche les scientifiques d’avancer en direction de réflexions spirituellement plus conscientes. Ainsi, quoique la science se soit apparemment émancipée des doctrines anciennes, elle reste toujours aussi muselée et bloquée mentalement qu’au 19e siècle par les craintes qu’elles lui inspirent. Elle adopte ses théories ridicules parce qu’elle n’a pas encore perçu la « Réalité » de Notre Source d’Être derrière et dans la molécule vivante.

Continuant son histoire de la création, la science dé-clare qu’après la « création spontanée » de molécules vivantes capables de se reproduire, elles « se sont consti-tuées » en une cellule vivante (si petite qu’elle ne peut pas se voir à l’œil nu), qui est devenue le matériau de construction de toute la multiplicité des organismes vivants, y compris les plantes, les insectes, les reptiles, les oiseaux, les animaux et l’homme lui-même. Ainsi, toutes les choses vivantes auraient un ancêtre commun – la première molé-cule vivante.

La science ne peut expliquer pourquoi les molécules reproductibles se sont assemblées en une cellule vivante. Cela reste un mystère pour la science à ce jour.

La cellule vivante, vous dit votre science, se reproduit sans fin dans des milliards de milliards de milliards de formes différentes. C’est le matériau de construction de l’univers visible. Comment cela se peut-il ? Quelle est l’impulsion qui motive une telle reproduction ? La science ne peut pas le dire. Retranchée derrière sa propre cécité, elle se circonscrit, et les gens avec elle, dans une cécité matérialiste.

Et maintenant, la première cellule vivante mérite l’attention exclusive de toute personne cherchant sérieusement la dimension spirituelle et la « Source première de l’Existence » – parce que la première molécule vivante et la première cellule vivante sont la toute première évidence d’une activité intelligente dans la « matière » – dans l’univers.

La caractéristique première qui démontre du sens et de la sensibilité est la fonction de la membrane qui recouvre la cellule, lui conférant protection et individualité. Pensez à ce phénomène « miraculeux ».

La cellule absorbe, à travers sa membrane, uniquement la nourriture qu’elle a sélectionnée dans l’environnement.

Non seulement la cellule absorbe la nourriture correcte mais – ayant utilisé cette nourriture – elle se débarrasse de ses déchets à travers cette membrane perméable.

Vous devriez vous demander comment la membrane « purement physique » de la cellule, invisible à vos yeux, peut « distinguer et sélectionner » la nourriture qui lui con-vient afin d’améliorer son bien-être, puis exercer suffisamment de discernement pour se débarrasser de la matière toxique non désirée ?

Ne voyez-vous pas là un haut degré de finalité dans toute cette activité et pouvez-vous croire qu’une telle inten-tion soit accidentelle ?

Et LA FINALITÉ n’est-elle pas la marque même de l’Intelligence ?

Plus encore : la membrane de la cellule continue à faire ce travail de sélection de la nourriture et de rejet des déchets dans un milliard de milliards de circonstances et de conditions différentes, liées à la survie de diverses espèces dans divers environnements. N’est-ce pas là une évidence de LA FINALITÉ qui se joue dans chacune des actions de chaque sorte d’espèce, insectes, plantes, reptiles, oiseaux, animaux et êtres humains ?

Ne pourrait-on pas décrire l’univers comme une IMPULSION constante et cohérente DE FINALITÉ rendue visible dans le domaine de la « matière » visible ?

L’esprit de FINALITÉ est-il un élément physique – ou un élément de la « conscience » ?

Et si vous pouvez accepter que LA FINALITÉ est une impulsion créatrice incontestable derrière L’EXISTENCE, alors, vous pouvez passer à la perception suivante de l’univers : celle de la manifestation visible d’une ÉVALUATION INTELLIGENTE des causes et des effets, clairement évidente dans la « matière » vivante. Car – si la cellule vivante peut sélectionner la nourriture qui lui convient et aussi pourvoir à l’élimination de ses déchets toxiques – cette simple activité démontre une conscience du besoin de digérer et prévoit également la constitution de déchets toxi-ques qui en résulte – et la nécessité d’éliminer de tels déchets pour assurer la santé permanente de la cellule. N’est-ce pas là une indication claire d’une ÉVALUATION INTELLIGENTE de la « Cause et de l’Effet » ?

De plus, la science dit que la cellule contient un « noyau » qui pourrait se comparer au cerveau d’un être humain puisqu’il transmet des messages et que sa fonction principale est le stockage d’informations, la « bibliothèque » qui contient non seulement les détails relatifs à une cellule, mais à tout le corps dans lequel elle réside !

En fait, selon les recherches de la science, il apparaîtrait que la cellule elle-même est un système de « messages » chimiques transportés d’une manière intentionnelle, intelligente et claire. Comment cela se pourrait-il si les origines des molécules de la cellule n’étaient que des substances chimiques inanimées ? Discuteriez-vous le fait que derrière chaque « messager ayant un message à délivrer » se trouve une pensée ou une conscience intelligente ? Et que penser de la précision des messages transférés de cellule à cellule pour assurer la réplication exacte de certaines espèces pendant des millions d’années ? A quel moment donc de la création, la « conscience » s’est-elle immiscée dans des organismes vivants ? Et comment la pensée intelligente, qui pèse et décide, est-elle arrivée dans le champ de la matière inconsciente et inanimée ?

Source : Commentaires de la porte-parole sur les Lettres

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